Ce projet de recherche vise à comprendre comment de nouveaux modes d’organisation du travail favorisés par le développement des technologies numériques, comme le coworking, peuvent contribuer ou non au développement d’une mobilité plus durable au sein des systèmes urbains.
L’hypothèse principale du projet est que la durabilité urbaine des pratiques de mobilité des coworkers dépend des configurations sociales (professionnelles, familiales) et spatiales (territoriales, résidentielles) dans lesquelles ils sont engagés.
Tout l’enjeu du projet est d’identifier la diversité de ces configurations socio-spatiales et leur caractère plus ou moins favorable à la durabilité urbaine à travers la connaissance des pratiques de mobilité des coworkers, la compréhension des choix qui président à l’adoption de ces pratiques et la mise en perspective des spatialités qu’elles dessinent.
- Participants du Laboratoire aménagement, économie, transports (LAET) : Patricia Lejoux (coordinatrice, aménagement), Nathalie Ortar (anthropologie), Nicolas Ovtracht (géomatique), Stéphanie Souche-Lecorvec (économie), Aurore Flipo (sociologie), Damien Hommé (géographie)
- Partenaires : CITI – INSA de Lyon, Razvan Stanica (STIC)
- Financement : ANR
Ce projet a commencé le 1er janvier 2018, il devrait être prolongé en 2021 pour 1 an.
Plus d'infos sur la méthodologie et la valorisation du projet COWORKWORLDS
Zoom sur une nouvelle publicationAurore FLIPO et Patricia LEJOUX, « Les dimensions sociales et spatiales du coworking : un état de l’art », EspacesTemps.net [En ligne], Travaux, 2020 | Mis en ligne le 3 avril 2020, consulté le 03.04.2020. URL : https://www.espacestemps.net/articles/les-dimensions-sociales-et-spatiales-du-coworking-un-etat-de-lart/ ; DOI : 10.26151/espacestemps.net-6rp7-3826 |